[Ton image en signature fîtes très bien avec ta phrase je trouve. En tout cas merci.]
Windo, torse nu et une cape sur le côté, ses poignet en lacet de cuir, il se promenait dans l’endroit le plus visité de sa jeunesse au moment où il se rebella contre son père. Il entra dans le quartier réservé aux esclaves, dire que son père avait autorisé ça. En fait tout ça le dégoûtait, mais faisait l’aveugle, enfin pas pour longtemps. Il y avait la des gaillards et des maignres, des femmes qui servait sûrement pour assouvir les bas instincts de leur maître. Quelque personnes le reconnaissant s’inclinait devant lui, mais il savait qu’il n’apprécierait pas faire conversation, alors il saluait et continuait leur route, car surtout que le prince les ignorait totalement. Il ferma les yeux et tourna la tête et fut presque éblouit. Il s’approcha de l’esclave à la peau d’une blancheur immaculé. Installé sur une estrade, assise sur un banc, celle-ci l’intrigua. Il y monta lentement, le vendeur gras et chauve s’avança et s’inclina doucement. Windo l’ignora et s’approcha de la jeune femme. Il s’accroupit et la tapota sur le ventre, sa maigreur était alarmante, se doutant que la blancheur de sa peau faisait d’elle une albinos, il releva sa robe déchirée et n’eut jamais vu un entre jambe aussi ravagé, de plus, elle devait aussi avoir du mal à marché sur deux jambes, un voile cachait son beau visage. Enfin il devait être plus beau sans ses bleue et écorchure. Le vendeur arriva tout prêt et dit :
« Prince Windo, je l’abordes plus pour les bourgeois et hommes se tenant dans les tavernes, si vous voulez je peux vous montrez mes plus beau esclaves pour votre statut et rang. »
Windo resta silencieux un moment regardant la jeune femme avec un air plutôt contrarié, il tourna son visage vers le marchand et dit :
« Mon cher marchand, depuis quand un simple homme comme vous s’est ce qu’il faut à un prince comme moi, seriez-vous un prince déchu qui s’est recycler dans la vente, cela m’étonnerais fort bien. Veuillez donc me laisser regarder la marchandise à ma guise si vous le voulez bien, je déteste être déranger pour des idioties pareilles. »
-Veuillez excuser mon impertinence mon seigneur. Donc, est-ce qu’elle vous plait.
-Je la prend et ainsi que votre cheval là-bas.
-Mon cheval!
-Oui. Votre cheval, y a t-il un problème.
-Heu c’est que comment dire.
-Voulez-vous que je fasses retirer se stand pour mauvais service, maintenant dit-moi le prix de la jeune esclave albinos.
-Heu 50 mon seigneur.
-Bien Voici, je prends la fille et le cheval pour cette somme où je fermes ce stand et vos esclaves seront redistribuer dans d’autre stand d’esclave mon cher. Vous aurez du mal à vous refaire, faite moi donc plaisir. Apportez-moi toutes ses affaires, faites la monter sur ce cheval, elle a de la misère à rester assise, imaginer pour marcher, vos esclaves sont de la vulgaire marchandise, soyez heureux que j’oses acheter dans le vôtre.
-Bien je fais tout préprarer. Bor, Vlad, le cheval pour sa majesté et préparer les affaires de l’esclave numéro 5. Allez.